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Escoville

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Escoville
Escoville
L'église Saint-Laurent.
Blason de Escoville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge
Maire
Mandat
Christophe Cliquet
2020-2026
Code postal 14850
Code commune 14246
Démographie
Population
municipale
851 hab. (2022 en évolution de +6,24 % par rapport à 2016)
Densité 164 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 12′ 40″ nord, 0° 14′ 13″ ouest
Altitude Min. 13 m
Max. 42 m
Superficie 5,18 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Ranville
(banlieue)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Troarn
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web https://www.escoville.fr

Escoville est une commune française située dans le département du Calvados en région Normandie.

Géographie

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Localisation

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Escoville est une commune normande du Pays de Caen, située à 5 kilomètres au nord de Troarn, 11 kilomètres au nord-est de Caen, 14 kilomètres au sud de Cabourg, et 35 kilomètres de Deauville.

L'accès privilégié est l'axe Caen-Cabourg.

La commune est située dans l'aire d'attraction de Caen, dans sa zone d'emploi et dans son bassin de vie. Elle fait partie de l'unité urbaine de Ranville[I 1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Bavent, Bréville-les-Monts, Colombelles, Cuverville, Hérouvillette et Touffréville.

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 5,18 km2 ; son altitude varie de 13 à 42 mètres[1].

Escoville est une commune située à 9,5 km à l'est-nord-est du centre historique de Caen, sur le plateau dominant la rive droite de l'Orne

Hydrographie

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La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Aiguillon[2],[Carte 1].

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon la classification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[4]. Par ailleurs Météo-France publie en 2020 une nouvelle typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique[5] et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[6]. Elle est en outre dans la zone H1a au titre de la réglementation environnementale 2020 des constructions neuves[7],[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 2,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 695 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Sallenelles à 6 km à vol d'oiseau[9], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 735,8 mm[10],[11]. La température maximale relevée sur cette station est de 41 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −11,2 °C, atteinte le [Note 2].

Pour afficher une liste d’indicateurs climatiques caractérisant la commune aux horizons 2030, 2050 et 2100 et pouvoir ainsi s'adapter aux changements climatiques, entrer son nom dans Climadiag-commune[12], un site de Météo-France élaboré à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020.

Au , Escoville est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[13].

Elle appartient à l'unité urbaine de Ranville, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[14],[I 1].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (94,7 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,1 %), zones urbanisées (6,5 %), prairies (4,2 %), mines, décharges et chantiers (0,7 %), forêts (0,4 %)[17].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Habitat et logement

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En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 350, alors qu'il était de 338 en 2016 et de 268 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 93,9 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 5,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,1 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Escoville en 2021 en comparaison avec celle du Calvados et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (0,9 %) par rapport au département (17,8 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Escoville en 2021.
Typologie Escoville[I 3] Calvados[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 93,9 75,5 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,9 17,8 9,7
Logements vacants (en %) 5,2 6,6 8,1

Le nom de la localité est attesté sous la forme Scotvilla en 1101 (note AG d'après le cartulaire rouge de Troarn) ; Escoldivilla en 1109 (Dictionnaire topographique, d'après cartulaire de Troarn) ; Scolvilla en 1156 - 1161 (acte H 2, 169) ; Escotvilla en 1201 (AC,H 941) ; Ecovilla en 1128 (charte de Sainte-Barbe), Escovilla en 1208 (Charte de l'abbaye d'Aunay)[18],[19].

Albert Dauzat et, à sa suite, Ernest Nègre considèrent que le premier élément Escold- représente le nom de personne germanique Ascald(us)[20], variante Ascolt[21], alors qu'il n'existe aucune forme ancienne en As-. En outre, ils ne connaissaient pas la première forme Scotvilla, tout à fait compatible avec les évolutions Escotvilla > Ecovilla (type scola > escole > école), mais pas réellement avec *Ascaldvilla > Escoldivilla ou *Ascoltvilla > Escoldivilla avec des formes anciennes qui aurait dû donner *Ascauvilla d'une part et *Ascouvilla d'autre part. C'est pourquoi François de Beaurepaire identifie l'ethnique scot « écossais » (Scot « l'Écossais » cf. patronyme Lescot)[19].

Homonymie avec Escoville (Seine-Maritime, Saint-Laurent-de-Brèvedent, Escoville par. de Saint-Laurent d'Esquetot, 1558) situé dans la zone de diffusion de la toponymie scandinave. (E)scoville a donné les patronymes anglais Scoville, Scovill et Scoffield.

Une fouille préventive menée en 2018 par l'INRAP avant l'aménagement du lotissement du Domaine du parc a permis de découvrir 153 structures fossoyées gallo-romaines datables de la fin du IVe ou du début du Ve siècle[22].

Les mêmes fouilles ont également révélées une occupation aux VIIIe et IXe siècles[22].

Époque contemporaine

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Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouvait dans l'arrondissement de Caen du département du Calvados[1]. Elle en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Lisieux[23],[I 1].

Elle faisait partie de 1801 à 1982 du canton de Troarn, année où elle intègre le canton de Cabourg[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Troarn[I 1] porté à 29 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Calvados.

Intercommunalité

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Escoville était membre de la petite communauté de communes Entre bois et marais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité est supprimée, et certaines de ses communes, dont Escoville rejoignent le , la communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge, dont est désormais membre la commune[I 1].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
  mars 1943 Jean Viel   Révoqué par le Régime de Vichy[24]
         
  mars 2001 André Lejemtel    
mars 2001 juillet 2020[25] Jean-Claude Garnie[26] SE Ajusteur
juillet 2020[27] En cours
(au 21 janvier 2025[28])
Christophe Cliquet SE Adjoint de service restauration EPSM

Équipements et services publics

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Enseignement

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Le groupe scolaire Jules-Verne d'Escoville, doté d'une cantine et d'un accueil périscolaire, est géré par l'intercommunalité[29]. L'équipement a été étendu en 2024 sur les plans de l'architecte Fabien Leblond[30]

Les enfants poursuivent habituellement leur scolarité au collège Montgomeri de Troarn[31].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2022, la commune comptait 851 habitants[Note 4], en évolution de +6,24 % par rapport à 2016 (Calvados : +1,58 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
315291306290332358354330301
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
310313291274282279247237249
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
256222266235252263217273321
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
417460438623626712730724807
2019 2022 - - - - - - -
807851-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Saint-Laurent des XIVe – XVIIIe siècles. Retable du XVIIIe sur le thème de l'Ascension.
  • Château du XVe siècle, remanié aux XVIe et XVIIIe siècles[35]. L'édifice se présente sous la forme de deux logis en équerre, celui du nord remanié au XVIIIe siècle est encore flanqué sur son grand côté extérieur de deux tours rondes du XVe siècle, celui du sud a été refait au XIXe siècle[36].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Blason de Escoville Blason
D'azur au chevron d'or accompagné de trois croissants du même, au chef cousu de gueules chargé de trois roses d'argent.
Détails
Blason de Charlotte de Mannoury, veuve de Louis Valois, écuyer et seigneur d'Ecoville, dit Escoville (édit de 1696. À noter qu'un deuxième blason était collé avec trois hermines (fond blanc, hermine sable)[37].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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  • « Escoville », Un siècle d'histoire du Calvados, (consulté le ).

Notes et références

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  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. « Réseau hydrographique d'Escoville » sur Géoportail (consulté le 10 avril 2025).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Fiche communale d'Escoville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen », La Météorologie, no 116,‎ (DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012, lire en ligne, consulté le )
  5. « Le climat en France hexagonale et Corse. », sur meteofrance.com (consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Réglementation environnementale RE2020 », sur ecologie.gouv.fr, (consulté le )
  8. « Répartition des départements par zone climatique » [PDF], sur ecologie.gouv.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Escoville et Sallenelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Sallenelles », sur la commune de Sallenelles - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur object.files.data.gouv.fr/meteofrance/ (consulté le )
  11. « Station Météo-France « Sallenelles », sur la commune de Sallenelles - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur Météo-France, (consulté le )
  13. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Ranville », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Caen », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Dictionnaire topographique du département du Calvados, p. 106.
  19. a et b François de Beaurepaire (préf. Michel Tamine), Les Noms de lieux du Calvados (annoté par Dominique Fournier), Paris, L'Harmattan, (ISBN 978-2-14-028854-8), p. 172
  20. NPAG, I, 42b.
  21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 270b
  22. a et b David Flotté, Loïc Ménager et Laurent Vipard, « Escoville – Le Domaine du Parc : Opération préventive de diagnostic (2018) », AdlFI - Archéologie de la France Informations,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 » [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
  24. « Maires et adjoints aux maires », Journal officiel de l'État français, no 53,‎ , p. 605 (lire en ligne, consulté le ) « Considérant que M. Viel (Jean), maire de la commune d'Escoville (Calvados), fait preuve d'une mauvaise volonté manifeste dans l'exécution des directives du ravitaillement général [...] », sur Gallica.
  25. « Municipales 2020. Escoville : Jean-Claude Garnier ne se représentera pas », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « En 1989, il commence par un premier mandat de conseiller municipal, avec André Lejemtel comme maire. « J'y suis arrivé un peu par hasard, c'est M. Lejemtel qui est venu me chercher ! » [...] Puis en 1995 une place d'adjoint lui est proposée « toujours un peu par hasard, je n'étais pas au courant. Je n'ai eu que des élections par hasard ! Puis en 2001 il prend la suite de Lejemtel » ».
  26. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Jean-Claude Garnier retrouve sa place de maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Claude Garnier, maire sortant, était le seul à briguer un mandat et c'est tout naturellement qu'il a obtenu l'investiture de ses colistiers ».
  27. « Municipales à Escoville. Christophe Cliquet, nouveau maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Christophe Cliquet, élu depuis vingt ans au conseil et adjoint a de quoi se féliciter. Vendredi, il a été élu maire de la ville ».
  28. « À Escoville, le legs de « Monette » servira pour l'église « jusqu'au dernier centime », Le Pays d'Auge,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Scolarité », Services, sur https://www.normandiecabourgpaysdauge.fr (consulté le ).
  30. « L'extension de l'école d'Escoville a été inaugurée : "nous y sommes arrivés..." », Le Pays d'Auge,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Cela ne se fait pas sans casser la tirelire : 1,4 million d'euros, dont 40 % ont été subventionnés grâce à une aide de l'État ».
  31. « Scolarité », Nos services > Jeunesse - Enfance - Loisirs pour tous, sur https://escoville.fr/ (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  35. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 161 (cf. Escoville).
  36. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 28e éd. (1re éd. 1979), 1304 p. (ISBN 2-86535-070-3, OCLC 1078727877), p. 451 (cf. Escoville).
  37. « Armorial Normandie Caen »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).

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